RISO, partenaire du Lycée agricole public de Montluçon-Larquille
Le lycée agricole public de Montluçon-Larquille forme cette année 150 élèves aussi bien dans les sections de l’aménagement paysager et de l’élevage pour le bac pro que dans deux CAP en horticulture et élevage. Il propose également une classe de 3e d’enseignement agricole, où les élèves découvrent les métiers de la ruralité et de l’agriculture.
Le lycée, dont la dénomination exacte est EPLEFPA1 de Montluçon-Larquille, est équipé depuis plusieurs années d’une solution d’impression RISO. Pour Philippe Testard, directeur de l’établissement depuis septembre 2020, travailler avec RISO relevait de l’évidence. « RISO est un partenaire déjà ancien pour l’enseignement agricole, confie-t-il. J’avais déjà travaillé avec l’entreprise dans mes fonctions précédentes et apprécié leur qualité d’écoute. Ils sont très actifs, gardent un contact par mail et téléphone, passent voir les établissements pour faire le point sur les besoins et ainsi assurer un suivi parfaitement adapté ».
Chez RISO, les besoins spécifiques de l’EPLEFPA de Montluçon-Larquille sont pris en compte et entendus. « Nos contrats sont adaptés, quasiment personnalisés, indique M. Testard. Nous sommes un petit établissement, nous n’avons qu’une machine, nous ne représentons donc pas un gros marché. Pourtant, on sent que RISO nous accorde la même attention que si nous avions un parc plus important ».
Quand on évoque les atouts de RISO en matière d’efficacité énergétique et d’écologie, le directeur avoue sa méconnaissance des technologies existantes et concède que « c’est important, mais ce n’est pas pour moi un argument décisif, car il est normal que toutes les entreprises soient responsables. Ce sujet apparaît désormais comme une évidence ».
Le directeur du lycée reste par ailleurs très attaché au support papier comme outil pédagogique. « Le papier est un support d’apprentissage qui a fait ses preuves et qui reste indispensable, même si la fonction scanner est de plus en plus utilisée. On dématérialise certaines fonctions, par exemple les quizz et les évaluations, mais les problèmes du numérique restent nombreux : ça suppose de l’énergie, des formats compatibles, des matériels adaptés – ordinateur, tablette ou téléphone – dont ne disposent pas tous nos élèves. Le papier apparaît donc comme un outil démocratique puisqu’il est accessible à tous : il suffit de mains pour le manipuler (et le contact physique avec la feuille reste important) et d’yeux pour voir ».
Au-delà d’un partenariat commercial
Plus qu’un fournisseur de solutions d’impression, RISO s’engage aux côtés de l’EPLEFPA de Montluçon-Larquille en soutenant la réalisation d’un projet pédagogique stratégique : l’acquisition d’un simulateur de conduite d’engins agricoles roulants.
« Cette machine dotée de vérins hydrauliques et de grands écrans matérialise tous les engins que nos élèves seront amenés à utiliser : tracteurs, mini pelles, chariots élévateurs… Elle fait faire aux élèves des exercices pratiques et évalue la qualité de la conduite, la précision du travail, l’efficacité des gestes. C’est un outil qui a l’immense avantage d’être dispo H24, qui ne consomme pas de carburant et qui ne risque pas de s’abîmer suite à une maladresse. C’est une excellente étape d’initiation, qui permet de découvrir en toute sécurité les engins, ce qui sécurise la prise en main de vraies machines », explique M. Testard.
Aujourd’hui, ne disposant pas de simulateur, le lycée agricole n’a d’autre choix que de mettre les élèves directement dans le poste de pilotage d’engins réels. Un défi logistique complexe, souligne M. Testard. « Du coup, ils y vont peu souvent, puisqu’il faut que la machine soit disponible, qu’il y ait l’encadrement, que tout le monde ait le temps de passer… ». De plus, disposer de ce simulateur permettra au lycée de proposer des formations pour adultes. « Plusieurs organismes de formation m’ont déjà sollicité à ce sujet », confie M. Testard.
Le futur du partenariat avec RISO
« Cette année, explique Philippe Testard, nous avons un afflux d’élèves un peu plus important qui montre un regain d’intérêt pour ces domaines, notamment l’élevage. Je remarque aussi une sensibilité améliorée sur les sujets socialement vifs que sont l’évolution du métier, les changements climatiques, le bien-être animal… Même si les jeunes se projettent dans un avenir qui n’est pas forcément très enthousiasmant – on leur annonce plutôt des difficultés – on voit naître des vocations pour ces métiers, qui sont aujourd’hui reconnus comme essentiels. De plus, les annonces répétées sur les départs en retraite massifs à venir parmi la population des agriculteurs semblent avoir été entendues ».
De son côté, l’EPLEFPA Montluçon-Larquille est en phase de développement. L’établissement s’ouvre progressivement à l’apprentissage et accueillera bientôt des adultes. « Je m’attends à un accroissement de l’activité et donc forcément un accroissement de la demande de services, y compris la reprographie », explique M. Testard, qui n’exclut pas de se doter en conséquence d’une seconde solution d’impression RISO.
Avec RISO, je souhaite que nous continuions à avancer ensemble en conservant cette même qualité de travail et de service. Je veux cultiver notre relation, ce contact régulier qui me permet de parler de mes besoins et d’avoir en face un expert RISO pour me présenter les possibilités qui me sont offertes et les produits les mieux adaptés », conclut Philippe Testard.
- 1
Pour Établissement Public Local d’Enseignement et de Formation Professionnelle Agricole