#papier
En 2022, grâce à son partenariat avec ELISE, RISO a permis le recyclage de plus de 6 tonnes de déchets de bureau.
En voir plusDe nos jours, la falsification de documents officiels prend de plus en plus d’ampleur, devenant une réelle problématique. La protection des données confidentielles est plus que jamais en péril.
Pour vous avocats, notaires, huissiers et autres acteurs des professions juridiques, il est primordial de protéger vos clients contre ce fléau, en vous assurant d’imprimer des documents infalsifiables…
Et si RISO était la valeur sûre ?
En voir plusEn 2021, grâce à son partenariat avec ELISE, RISO a permis le recyclage de près de 6 tonnes de déchets de bureau.
En voir plusLe recyclage est un des piliers d’une démarche zéro déchets. C’est un des « 4 R » : réutiliser, réparer, réduire (les déchets) et recycler.
Or le papier est un des matériaux les plus recyclables et recyclés du monde (voir notre article ici). Privilégier le papier recyclé, c’est donc faire un geste environnemental, n’est-ce pas ?
Il semble évident que la réponse est « oui ». Déjà parce que produire du papier 100 % recyclé ne nécessite pas de couper des arbres, alors que pour obtenir une tonne de papier vierge il faut abattre jusqu’à 24 arbres (ce qui représente trois tonnes de bois)1. Idem en ce qui concerne la consommation d’eau et d’énergie, bien moindre pour le papier recyclé.
Le papier recyclé permet une économie de ressources qui apparaît essentielle aujourd’hui. L’abandon progressif des emballages plastiques et le boom du e-commerce – avec l’explosion du nombre de colis qu’il implique–, nous amènent notamment à utiliser des quantités toujours plus importantes de papiers et cartons. Alors autant utiliser la solution la plus écologique !
Mais attention, les choses ne sont pas aussi simples qu’il y paraît. Le papier recyclé n’est pas la panacée.
En voir plus« Pensez à l’environnement avant d’imprimer ce message ». On voit de plus en plus fréquemment apparaître cette recommandation – ou l’une de ses nombreuses variantes telles que « Ne m’imprime pas, pense aux arbres » – en guise de signature électronique en bas des e-mails.
De prime abord, on pourrait penser que cela tombe sous le sens. Imprimer consomme des ressources tangibles (du papier et de l’encre), tandis que l’e-mail, lui, semble avoir un impact environnemental nul ou négligeable.
Pourtant, à y regarder de plus près, les choses sont loin d’être aussi simples. Impossible en effet d’envoyer ou de recevoir un simple email sans quantité de matériel informatique : ordinateurs, tablettes et smartphones bien entendu, mais aussi une somme d’équipements énergivores très loin de l’utilisateur final comme les serveurs, data centers, l’infrastructure réseau…
Les technologies digitales sont extrêmement polluantes et en croissance très rapide. Elles produisent déjà plus de gaz à effet de serre1 que le transport aérien, et l’on prévoit que leurs émissions triplent2 d’ici 2040 !
Quant au papier, sa mauvaise réputation est usurpée. Il s’agit en réalité d’un des matériaux les plus recyclables – une feuille de papier est recyclable jusqu’à 7 fois en moyenne, au-delà, les fibres de cellulose sont trop abîmées – et recyclés qui soient. L’Europe recycle chaque année 72 %3 de ses papiers et cartons.
« Penser à l’environnement » n’est donc pas aussi simple que d’opter pour le tout digital. Dans de nombreuses circonstances, le papier se positionne comme LE choix écoresponsable.
Vous en doutez encore ? On vous explique tout.
En voir plusConsulter ses comptes en ligne, prendre un rendez-vous chez le médecin sur Doctolib, télédéclarer ses impôts, mettre à jour sa situation Pôle emploi… Aujourd’hui, non seulement les outils numériques sont partout, mais ils prennent une place toujours plus importante. Et bientôt, ils seront inévitables. La France prévoit en effet de dématérialiser l’ensemble des services publics d’ici à 2022. Or bien des Français ne sont à l’heure actuelle pas en mesure d’effectuer leurs démarches administratives en ligne. On estime que plus d’11 millions de Français – soit près de 17 % de la population1 – sont en situation d’« illectronisme », c’est-à-dire d’illettrisme numérique.
En voir plusPour Michel Desmurget, docteur en neurosciences et auteur de La fabrique du crétin digital, cela ne fait aucun doute : les écrans ont un effet délétère sur la santé des enfants.
Dénonçant « un problème majeur de santé publique1 », le neuroscientifique n’hésite pas à prôner le zéro écran jusqu’à l’âge de six ans. Une recommandation près de deux fois plus stricte que celle de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui encourage les parents à ne pas mettre les enfants devant un écran au moins jusqu’à leurs trois ans2, puis de restreindre à une heure par jour maximum jusqu’à cinq ans.
Mais au fait, pourquoi est-ce si essentiel de limiter l’exposition des jeunes enfants aux écrans ? Pour le savoir, suivez le guide !
En voir plusComment faire en sorte que les couleurs d’un document que j’imprime soient fidèles à ce que je vois à l’écran ? Comment m’assurer que si j’imprime un même document sur différentes machines, le rendu des couleurs sera uniforme ? La réponse à ces deux questions, c’est la gestion colorimétrique.
En voir plusLancée en 2018 par le Bureau International du Recyclage, la journée mondiale du recyclage célèbre, tous les 18 mars, cette activité essentielle dans la lutte contre les changements climatiques. Au menu de cette journée : actions de sensibilisation aux enjeux du recyclage, ateliers pratiques, partage des bonnes pratiques…
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