RISO, on y entre, on y reste ! – Richard Viola
Certains enfants rêvent de devenir astronautes, pompiers, stars du foot. Richard Viola, lui, a toujours été fasciné par la technique et le contact avec les autres.
Une vocation pas banale, qu’il doit sans doute à ses parents. « Ma maman a tenu un salon de coiffure pendant plus de 40 ans. J’y ai passé beaucoup de temps quand j’étais gamin, entouré des odeurs de laque et d’ammoniaque. Je pense que c’est en regardant ma mère travailler, l’importance qu’elle mettait à offrir un accueil parfait, que m’est venu le goût du contact avec la clientèle. Quant à mon père, il travaillait chez EDF et faisait, comme moi, du dépannage ».
Aujourd’hui responsable technique de RISO FRANCE pour la vente directe sur la région Auvergne-Rhône-Alpes, à la tête d’une équipe de 9 techniciens, Richard a débuté sa carrière de technicien copieur/duplicopieur chez Finely en 1991.
« On était au tout début du copieur tel qu’on le connaît aujourd’hui. Je travaillais avec des gens qui avaient connu l’encre liquide ! » Sa mission de l’époque ? Se rendre chez le client, pour réparer les imprimantes de marque Ricoh et Panasonic. « Il y a quelque chose de grisant à réussir à trouver l’origine de la panne et à la réparer. Le dépannage, c’est à chaque fois une sorte de découverte. Mais ce que je préfère, c’est la relation au client, c’est créer et entretenir un lien de confiance. Chaque client a son caractère, sa personnalité : dans le SAV, la partie relationnelle est hyper importante ».
En 1993, Finely devient distributeur exclusif des duplicopieurs RISO en Savoie, Haute-Savoie, Drôme, Ardèche et Isère. On propose à Richard de prendre ce nouveau périmètre, ce qu’il accepte immédiatement, intéressé par cette nouvelle technologie.
L’aventure RISO
Quelques années plus tard, RISO rachète Finely. Richard Viola hésite alors à rejoindre la petite structure de RISO en France (qui compte alors moins de 25 employés) ou à tenter sa chance dans une grosse multinationale. C’est Fabrice Sposito, actuel DG de RISO FRANCE et ancien de Finely qui le convainc de tenter l’aventure RISO. « Fabrice m’a dit de lui faire confiance. C’était un collègue mais aussi un copain. J’ai dit : bingo, je pars avec toi ! ».
RISO FRANCE prend rapidement son essor, l’entreprise grandit, recrute, la gamme de produits s’étoffe, avec notamment l’arrivée des premières imprimantes jet d’encre en 2005. La même année, Richard devient responsable technique pour la distribution sur l’Est de la France. Un poste aussi intéressant qu’exigeant : Richard se souvient qu’il passait 70 % de son temps sur la route, couvrant un territoire allant de Strasbourg à Nice. Après deux années avec un rythme soutenu, et le lancement du Jet d’encre stabilisé, il a été décidé de recentrer les responsables techniques sur des zones géographiques plus restreintes. Richard prend la responsabilité centre /sud-est, poste qu’il occupe aujourd’hui.
Une carrière entière chez RISO
Ça fait maintenant plus de 30 ans que Richard est au sein de RISO FRANCE, une entreprise qu’il considère comme une famille. « Je bosse autant avec des gens qui ont beaucoup d’ancienneté que de nouveaux venus. C’est une entreprise où l’on se sent bien. Il y a ici beaucoup d’humain, à tous les niveaux. Si on est dans une mauvaise passe, on comprend, on nous laisse du temps. On fait également beaucoup confiance aux gens : on leur donne l’opportunité d’évoluer, on privilégie toujours les candidatures internes ».
RISO FRANCE est une entreprise à taille humaine, qui sait être à l’écoute de ses collaborateurs. Si l’ambiance est bonne ici, c’est en grande partie dû à notre Directeur Général, Fabrice Sposito estime Richard. « Il a su créer autour du CODIR cette atmosphère, cet état d’esprit, qui irrigue toute l’entreprise »
Est-ce que tout est parfait chez RISO FRANCE ? « Je crois que la boîte parfaite n’existe pas, mais je suis parfaitement heureux dans ce que je fais aujourd’hui et l’herbe n’est pas forcément plus verte ailleurs. Il est arrivé à plusieurs reprises que des techniciens que j’avais engagés quittent RISO et me rappellent quelque temps plus tard en me disant “ j’ai fait une connerie, tu n’aurais pas une place pour me reprendre ? ” » conclut-il.