Le numérique est-il vraiment plus écolo que le papier ?
Lorsqu’on parle d’écologie le papier se confronte à un certains nombres ...
« Pensez à l’environnement avant d’imprimer ce message ». On voit de plus en plus fréquemment apparaître cette recommandation – ou l’une de ses nombreuses variantes telles que « Ne m’imprime pas, pense aux arbres » – en guise de signature électronique en bas des e-mails.
De prime abord, on pourrait penser que cela tombe sous le sens. Imprimer consomme des ressources tangibles (du papier et de l’encre), tandis que l’e-mail, lui, semble avoir un impact environnemental nul ou négligeable.
Pourtant, à y regarder de plus près, les choses sont loin d’être aussi simples. Impossible en effet d’envoyer ou de recevoir un simple email sans quantité de matériel informatique : ordinateurs, tablettes et smartphones bien entendu, mais aussi une somme d’équipements énergivores très loin de l’utilisateur final comme les serveurs, data centers, l’infrastructure réseau…
Les technologies digitales sont extrêmement polluantes et en croissance très rapide. Elles produisent déjà plus de gaz à effet de serre1 que le transport aérien, et l’on prévoit que leurs émissions triplent2 d’ici 2040 !
Quant au papier, sa mauvaise réputation est usurpée. Il s’agit en réalité d’un des matériaux les plus recyclables – une feuille de papier est recyclable jusqu’à 7 fois en moyenne, au-delà, les fibres de cellulose sont trop abîmées – et recyclés qui soient. L’Europe recycle chaque année 72 %3 de ses papiers et cartons.
« Penser à l’environnement » n’est donc pas aussi simple que d’opter pour le tout digital. Dans de nombreuses circonstances, le papier se positionne comme LE choix écoresponsable.
Vous en doutez encore ? On vous explique tout.
En voir plusConsulter ses comptes en ligne, prendre un rendez-vous chez le médecin sur Doctolib, télédéclarer ses impôts, mettre à jour sa situation Pôle emploi… Aujourd’hui, non seulement les outils numériques sont partout, mais ils prennent une place toujours plus importante. Et bientôt, ils seront inévitables. La France prévoit en effet de dématérialiser l’ensemble des services publics d’ici à 2022. Or bien des Français ne sont à l’heure actuelle pas en mesure d’effectuer leurs démarches administratives en ligne. On estime que plus d’11 millions de Français – soit près de 17 % de la population1 – sont en situation d’« illectronisme », c’est-à-dire d’illettrisme numérique.
En voir plusImaginez un moyen d’impression sécurisé qui permette de s’assurer à coup sûr que l’intégralité du document envoyé à l’imprimante a bien été imprimé, sans faille et sans défaut. Ce serait pratique, non ?
Eh bien, ce moyen existe : il s’appelle l’AFP-IPDS. Et il est utilisé dans le monde entier, notamment dans les organisations gouvernementales, chez les prestataires éditiques et dans des secteurs stratégiques tels que la banque, l’assurance, la santé, l’énergie ou les télécoms.
En voir plusPour Michel Desmurget, docteur en neurosciences et auteur de La fabrique du crétin digital, cela ne fait aucun doute : les écrans ont un effet délétère sur la santé des enfants.
Dénonçant « un problème majeur de santé publique1 », le neuroscientifique n’hésite pas à prôner le zéro écran jusqu’à l’âge de six ans. Une recommandation près de deux fois plus stricte que celle de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui encourage les parents à ne pas mettre les enfants devant un écran au moins jusqu’à leurs trois ans2, puis de restreindre à une heure par jour maximum jusqu’à cinq ans.
Mais au fait, pourquoi est-ce si essentiel de limiter l’exposition des jeunes enfants aux écrans ? Pour le savoir, suivez le guide !
En voir plusSavez-vous ce qu’est le jour du dépassement ? C’est la date – théorique – à laquelle l’humanité a épuisé les ressources que la Terre est capable de régénérer en un an. En 2019, ce jour est tombé le 29 juillet. L’année dernière, le ralentissement des activités causé par la pandémie a reculé l’échéance de trois semaines, au 22 août.
Quelle que soit la date exacte, une chose est certaine : nous vivons une partie de l’année à crédit. L’ONG Global Footprint Network1, à qui on doit le calcul de la date du dépassement, estime que nous avons consommé l’année dernière l’équivalent des ressources d’1,6 planète Terre.
Sauvegarder la Terre, agir pour prendre soin de la planète, est essentiel : c’est tout l’objet du Jour de la Terre.
En voir plusEn 2017, chez ALCAIX lorsqu’on a choisi RISO, on a opté pour une seule machine. On ne connaissait pas le prestataire, on ne connaissait encore moins la machine, et on tombait sur une nouvelle technologie qui était à base de jet d’encre1. Nous avons fait tourner cette machine 1 année avec un gros volume d’impression et nous avons constaté peu de bourrages, une bonne fiabilité, et la vitesse qui était tenue suivant les divers fichiers qu’on pouvait lui envoyer. Donc par la suite, on a opté pour une 2ème machine et peu de temps après pour une 3ème.
En voir plusOn connaît tous le PDF, ce format de fichier universel qui permet de préserver à l’identique la mise en page d’un document source.
Le PDF nous facilite bien la vie. En enregistrant un fichier au format PDF, on est assurés que ce qui va sortir de l’imprimante sera la copie conforme de ce qu’on voit sur notre écran d’ordinateur. Enfin ça, c’est la théorie. En réalité, les choses sont un petit peu plus complexes : même le PDF a des failles !
Suivez le guide pour un petit tour d’horizon des principales idées reçues sur le Portable Document Format d’Adobe Systems, plus connu sous le nom de PDF.
En voir plusNous vivons dans un monde qui se numérise à toute vitesse, un monde où les outils digitaux sont de plus en plus finement intégrés à notre quotidien.
Ces outils sont extrêmement puissants – les smartphones que nous avons dans nos poches aujourd’hui sont des millions de fois plus performants que l’ordinateur de la NASA1 qui a envoyé les premiers hommes sur la Lune – et révolutionnent nos vies. Il suffit de quelques clics pour accéder, depuis le confort de son domicile, à sa musique ou son film favori, consulter les médias de son choix, se renseigner sur le sujet le plus pointu, faire ses courses, participer à une conférence vidéo…
Les technologies numériques nous rendent bien des services, à tel point que certains considèrent déjà le papier comme obsolète. C’est vendre un peu vite la peau de l’ours. Car en matière d’éducation et d’apprentissage, le papier reste roi.
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